C'est l'histoire d'un (sale) mec.
Je ne vais pas en rajouter une couche.
Allez lire ici, c'est clair et définitif.
Passons.
C'est l'histoire d'une foldingue.Je ne vais pas en rajouter une couche.
Allez lire ici, c'est clair et définitif.
Passons.
J'ai même lu d'une hystérique.
Mais les gens ne savent même pas ce que c'est qu'une hystérique.
J'ai tendance à défendre les femmes mais là faut avouer que la cause semble perdue.
Et que le premier prix de la personnalité agaçante de 2012 lui est acquis si ça continue.
Et a priori il n'y a pas de raison que ça s'arrête.
Je suis arrivée en retard au travail parce que je suis restée médusée devant sa prestation chez Bourdin.
Je sens qu'on va encore nous faire le coup de la campagne people et des petites phrases assassines.
On ne touche pas au Président m'sieurs-dames.
Mais les gens ne savent même pas ce que c'est qu'une hystérique.
J'ai tendance à défendre les femmes mais là faut avouer que la cause semble perdue.
Et que le premier prix de la personnalité agaçante de 2012 lui est acquis si ça continue.
Et a priori il n'y a pas de raison que ça s'arrête.
Je suis arrivée en retard au travail parce que je suis restée médusée devant sa prestation chez Bourdin.
Je sens qu'on va encore nous faire le coup de la campagne people et des petites phrases assassines.
On ne touche pas au Président m'sieurs-dames.
Tiens en parlant de lui,
Cest l'histoire d'un mec
Qui commence à faire des promesses avec son bilan sous le bras.
Il a trouvé une parade de derniere minute.
La TVA sociale que ça s'appelle.
Si j'ai tout bien compris, il s’agit d’abaisser les cotisations sociales payées par les entreprises pour financer la Sécurité sociale et augmenter la TVA sur les produits d'importation.
En fait j'ai pas bien compris mais quand je vais lire là j'ai envie de crier au secours.
Mon compagnon m'a expliqué ce matin pendant que la Castafiore s'égosillait que c'était un coup d'épée dans l'eau.
Moi je dis que le coup d'épée c'est pas dans l'eau qu'il faut le mettre.
Passons également.
J'ai quitté la maison, allumé la radio et soudain... Anne Wiazemski.
C'est l'histoire d'une femme.
"Il [François Mauriac] m'accueillit avec naturel comme s'il s'attendait à ce que je vienne le trouver.Contrairement à ce que je craignais, il me fut facile de lui parler. Son écoute attentive m'aida à m'exprimer avec sincérité et émotion. Je lui annonçai d'abord le tournage du film et il me posa quelques questions concernant l'intrigue. Je lui répondis le peu de choses que je savais, à savoir qu'il s'agissait d'une poignée de jeunes gens convertis à la pensée de Mao Tsé-toung. Ce bref résumé l'amusa et quand, croyant l'éclairer, je lui précisai qu'il s'agissait de « Robinsons du marxisme-léninisme », il éclata de rire. Puis je lui parlai de mes sentiments pour Jean-Luc et de l'amour que nous éprouvions l'un pour l'autre. Il cessa de rire et devint plus grave.
«Toi, dit-il, tu m'étonneras toujours !»
Je sentais beaucoup d'affection dans ce jugement, comme s'il m'approuvait en secret. Il était plus que bienveillant, il était solidaire.Ce fut lui qui aborda la question du mariage. Visiblement bien informé, il savait que Jean-Luc était protestant, divorcé, et qu'il ne pourrait pas y avoir de cérémonie religieuse. Il tint à m'exprimer à quel point cela le contrariait, le peinait même. Je l'écoutais sans rien dire, triste pour lui et un peu inquiète, aussi : n'allait-il pas s'y opposer ? Mais il n'en fit rien.
«C'est ta vie, c'est ton choix» , conclut-il. Et, en m'effleurant la joue :
« Un choix que je respecte. »
Je voulus le remercier, il m'en empêcha et dans un deuxième éclat de rire, très joyeux et très farceur :
«Devenir le grand-père de Jean-Luc Godard, quelle consécration !"
"Il [François Mauriac] m'accueillit avec naturel comme s'il s'attendait à ce que je vienne le trouver.Contrairement à ce que je craignais, il me fut facile de lui parler. Son écoute attentive m'aida à m'exprimer avec sincérité et émotion. Je lui annonçai d'abord le tournage du film et il me posa quelques questions concernant l'intrigue. Je lui répondis le peu de choses que je savais, à savoir qu'il s'agissait d'une poignée de jeunes gens convertis à la pensée de Mao Tsé-toung. Ce bref résumé l'amusa et quand, croyant l'éclairer, je lui précisai qu'il s'agissait de « Robinsons du marxisme-léninisme », il éclata de rire. Puis je lui parlai de mes sentiments pour Jean-Luc et de l'amour que nous éprouvions l'un pour l'autre. Il cessa de rire et devint plus grave.
«Toi, dit-il, tu m'étonneras toujours !»
Je sentais beaucoup d'affection dans ce jugement, comme s'il m'approuvait en secret. Il était plus que bienveillant, il était solidaire.Ce fut lui qui aborda la question du mariage. Visiblement bien informé, il savait que Jean-Luc était protestant, divorcé, et qu'il ne pourrait pas y avoir de cérémonie religieuse. Il tint à m'exprimer à quel point cela le contrariait, le peinait même. Je l'écoutais sans rien dire, triste pour lui et un peu inquiète, aussi : n'allait-il pas s'y opposer ? Mais il n'en fit rien.
«C'est ta vie, c'est ton choix» , conclut-il. Et, en m'effleurant la joue :
« Un choix que je respecte. »
Je voulus le remercier, il m'en empêcha et dans un deuxième éclat de rire, très joyeux et très farceur :
«Devenir le grand-père de Jean-Luc Godard, quelle consécration !"
Des histoires de gens, des histoires de femmes.
Devinez quelle est mon histoire préférée ?
On est à un billet par jour, là !
RépondreSupprimerPas mal, les bonnes résolutions ;-)
Et oui David ! On fait ce qu'on peut.
RépondreSupprimerJ'ai a-d-o-r-é !!!
RépondreSupprimer@_doudette aussi ;-)
Je vous a-d-o-r-e tous les deux ;-)
RépondreSupprimerLa TVA, faut voir, le Danemark et dans une moindre mesure l'Allemagne l'ont fait avec succès.
RépondreSupprimer