En décembre 1987, une rencontre entre deux artistes, un écrivain et un footballeur est organisée par le journal Libération.
L’écrivain c’est Marguerite Duras, qui vient d’écrire L’Amant.
Le footballeur c’est Michel Platini, qui vient d’écrire Ma vie comme un match.
Marguerite Duras interroge et s’interroge sur Platini, comme elle interroge Claire Lasne (L’Amante anglaise) ou Christine Villemin (L’Affaire Grégory Villemin).
Michel Platini répond avec lucidité et humour, en « driblant » avec intelligence.
Ce projet artistique, qui verra le jour à l’automne 2012, consiste à porter au théâtre cette rencontre.
Le théâtre peut-il nous raconter ou nous faire découvrir des choses nouvelles sur l’écriture, le football et les années 80 ?
Guy Naigeon
L’écrivain c’est Marguerite Duras, qui vient d’écrire L’Amant.
Le footballeur c’est Michel Platini, qui vient d’écrire Ma vie comme un match.
Marguerite Duras interroge et s’interroge sur Platini, comme elle interroge Claire Lasne (L’Amante anglaise) ou Christine Villemin (L’Affaire Grégory Villemin).
Michel Platini répond avec lucidité et humour, en « driblant » avec intelligence.
Ce projet artistique, qui verra le jour à l’automne 2012, consiste à porter au théâtre cette rencontre.
Le théâtre peut-il nous raconter ou nous faire découvrir des choses nouvelles sur l’écriture, le football et les années 80 ?
Guy Naigeon
"Michel Platini n’a jamais été aussi beau : il court, heureux comme un gamin, il court comme un dératé et lance un poing rageur vers le ciel en poussant un cri vainqueur, par deux fois, au pied des tribunes italiennes. Il vient de marquer le but le plus important de sa carrière. Sur penalty. Pour la Juventus de Turin. Michel Platini court, heureux comme un gamin. Pour la dernière fois de sa vie, comme il le confiera à Marguerite Duras quelques mois plus tard: " Ce jour-là, je suis devenu un homme !"
Stade du Heysel, Bruxelles. Finale de la coupe d’Europe des clubs champions. Juventus de Turin – FC Liverpool. 29 mai 1985. 57ème minute