On s'est pris une crise pour commencer.
L'homme de l'Elysée avait promis d'aller chercher la croissance avec les dents.
Il en a perdu son ratelier du coup.
Nous on s'est pris des "casse toi pauvre con" et des "descends si t'es un homme".
Une femme a chassé l'autre, mais elle le surclassent toutes les deux quoi qu'il arrive.
Une femme a chassé l'autre, mais elle le surclassent toutes les deux quoi qu'il arrive.
Chassez le naturel, il revient au galop.
Même avec un peu de recadrage.
On s'est pris des réformes mais tant à la fois que pour les appliquer... tintin.
On devait travailler plus pour gagner plus : tu as vu quelque chose sur ta feuille de Paie Lulu ?
Ceux qui l'aimaient ne l'aiment plus bien.
Ceux qui ne l'aimaient pas n'ont pas changé (et moi non plus je n'ai pas changé...)
Tout se fait dans l'urgence
Tout se fait en force
Rien ne change en fait
Les problèmes sont toujours là
Les pauvres aussi pauvres
Les riches n'en parlont pas ou alors parlons du bouclier fiscal
Il veut, il veut, il veut...
Et la France qu'est ce qu'elle veut elle ?
Dis Nicolas, tu y penses de temps en temps ?
Photo : Martin Parr
Photo : Martin Parr
Bonjour , et on réduit les budgets du social , moins de profs , on vire les malades , on épuise les infirmières , le soin à deux vitesses , le travail comme valeur quand on délocalise , les banques qui s'en foutent plein les fouilles ,l'aide à la personne pour des emplois précaires , des femmes de ménages chronométrées jusqu'à l'épuisement , le centre ville pour les riches fini la mixité sociale , les extrémismes qui reviennent , le foulard pour revendiquer d'exister , la h1n1 pour engraisser les labos et augmenter les mutuelles , elle est pas belle la vie !parce que je pourrais en dire encore , le grenelle vendu aux lobbys industriels , les files qui s'allongent devant les restaux du coeur et les banques alimentaires , faire taire ceux qui revendiquent , faire plier ceux qui y croient encore ou vous êtes priés d'aller voir ailleurs .......
RépondreSupprimer@MaTinou 6/5/10 4:03 PM
RépondreSupprimercet inventaire de nos malheurs comporte des "oublis"
Nous n'avons jamais refusé d'acheter des objets utiles ou pas, mais pas chers en provenance d'économies esclavagistes
Nous n'avons jamais trouvé ou cherché à savoir si les taux des prêts faits aux pays pauvres ne leur permettraient jamais de s'en sortir.
Nous ne nous sommes jamais posés la questions de savoir si 25 % des gens travaillaient directement ou pas dans le domaine de l'armement?
Cela participe grandement de la crise qui montre son nez.
On nous a pas dit !
On n'a pas cherché à savoir !
"Il veut, il veut, il veut...
RépondreSupprimerEt la France qu'est ce qu'elle veut elle ?"
EXACTEMENT !