Il y a quelques mois, suite à des soucis de circulation, j'ai rehaussé le bas de mon lit.
Je n'ai rien trouvé de mieux que deux livres pour servir de câle.
Le premier : Matou amoureux de Tim O'Brien.
N'ayant strictement aucun souvenir de ce bouquin, j'ai appelé Google au secours et ça a donné ça : "Abandonné par le seul grand amour de sa vie (ainsi en a-t-il décidé !), le professeur de linguistique Matthew H. Chippering ne peut s'empêcher de persécuter son ex-femme et son nouvel amant. Il est ainsi persuadé que cette dernière a toujours entretenu des relations incestueuses avec son frère Herbie. Le sexe tient une telle place dans la vie du professeur qu'il le transpose dans tous ses délires, ses fantasmes et ses peurs. Il est un peu misogyne, un peu macho, mais surtout irrésistiblement attiré par les femmes. Il est comme un chat dans un jeu de quilles. Un pauvre matou, amoureux fou, égocentrique et manipulateur qui se débat comme il peut dans une Amérique dopée au féminisme et en proie au puritanisme.
N'ayant strictement aucun souvenir de ce bouquin, j'ai appelé Google au secours et ça a donné ça : "Abandonné par le seul grand amour de sa vie (ainsi en a-t-il décidé !), le professeur de linguistique Matthew H. Chippering ne peut s'empêcher de persécuter son ex-femme et son nouvel amant. Il est ainsi persuadé que cette dernière a toujours entretenu des relations incestueuses avec son frère Herbie. Le sexe tient une telle place dans la vie du professeur qu'il le transpose dans tous ses délires, ses fantasmes et ses peurs. Il est un peu misogyne, un peu macho, mais surtout irrésistiblement attiré par les femmes. Il est comme un chat dans un jeu de quilles. Un pauvre matou, amoureux fou, égocentrique et manipulateur qui se débat comme il peut dans une Amérique dopée au féminisme et en proie au puritanisme.
Avec ce roman, conte moderne d'un séducteur égaré, Tim O'Brien revisite à sa manière les rapports hommes-femmes. Choquant parfois, émouvant ou drôle, l'auteur traite de la guerre des sexes avec le même recul engagé qu'il a appliqué à ses écrits sur la guerre tout court. Tim O'Brien, né en 1947 à Austin (Minnesota), a connu les horreurs de la guerre du Vietnam. À son retour, il choisit l'écriture et reçoit en 1979 le National Book Award pour son livre À la poursuite de Cacciato. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des écrivains les plus significatifs de la génération du Vietnam. --Stellio Paris"
Ca a l'air sympa comme histoire, il faudrait peut être que je le relise.
Le second : American Psycho de Brett Easton Ellis.
Là pour oublier il faudrait carrément être atteinte d'alzeimer. Je me demande quand même une chose : est-ce à cause de lui que je fait régulièrement des cauchemars depuis quelques temps ? Il faudrait peut être que je pense à mettre autre chose mais attention il faudra que le livre fasse la même épaisseur. Je vais chercher plus loin et vous tiendrai informés as soon as possible.
Comme quoi il faut toujours avoir des livres chez soi, ça peut servir même de cale-lit : la preuve. Essentiel forcément essentiel non ?
Photo : Brett Easton Ellis
J'ai pas pu finir de le lire et je crois que j'aurais même peur de le mettre sous mon lit, American Psycho...
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