Ca a commencé par le coup de gueule de Gérard Collomb sur son blog hier. Je le recommande à ceux qui ne l'ont pas encore lu. Gérard ne s'énerve pas souvent mais quand il le fait, ça s'entend et de loin. L'image que donne notre parti actuellement n'est vraiment pas brillante. On continue à grenouiller entre nous au lieu de s'occuper de l'autoroute que nous ouvre l'omnipotent président. Il va être question de cette liste des européennes dans les journées qui viennent dans toute les sections de France et à mon avis, ça n'a pas fini de gueuler encore et encore. Il faut défendre le parti qu'ils disent. Oui à condition que le parti soit défendable et qu'il arrête de se saborder lui même. Les dents n'ont pas fini de grincer.Ca continue un peu plus joyeusement quand on s'aperçoit qu'en face, ce n'est pas mieux. Un judoka peu connu pour la finesse de ses analyses politiques et un chanteur de variétés non-voyant qui nous chante qu'on va s'aimer depuis des lustres. Il ne manque plus que Johnny pour allumer le feu et la fête sera complète.
Ah oui, j'ai failli oublier la cerise sur le gâteau : Nicolas nominé pour le Prix Nobel de la Paix. Je pouffe, je pouffe... Excusez moi c'est nerveux.
Vous savez quoi ? Je serai le français moyen qui n'en n'a rien à foutre de la politique tous pourris tous pareils, ou le pauvre chomeur qui attend du boulot pour dans 2 ans ou plus, je commencerai à me fatiguer un peu de la guignolitude ambiante... et voir du côté du petit facteur des fois que ça soit plus sérieux qu'ailleurs.
Photo : Paul Almasy - Rock'n Roll sur les Berges
Oui Trub, tout pareil... la tentation du facteur est parfois présente !
RépondreSupprimerPareil sauf pour le facteur.
RépondreSupprimerParfois je ferais bien comme mon pote Nico, me réfugier dans un anarchisme kropotkinien de meilleur aloi que la soupe qu'on nous sert actuellement.
Parce que le facteur, quand on gratte un peu le vernis, franchement....
Euh, comment dire, si certains s'abstenaient de tels "coups de gueule", on passerait déjà nettement moi pour des cons, cela dit...
RépondreSupprimer@Florent
RépondreSupprimereuh tu parles de qui là ?
Marre de cette armée mexicaine... et dire que c'est la seule à pouvoir un jour nous débarrasser de l'autre. Triste France !
RépondreSupprimerTon article entre beaucoup en résonance avec ce que je pense et le commentaire que j'ai posté sur le blog de Romain Blachier.
RépondreSupprimerIl y a de quoi faire fuir.
Ils le font exprès ou quoi ? Cherchent-ils à se saborder tout seuls ? C'est le bon moyen !
Me savoir nominé pour le Nobel devrait... heu...
RépondreSupprimerDéprimant en effet... Je reprends ton titre : accrochons-nous !
RépondreSupprimermouarff et re-mouarff après la droite la plus bete du monde ( à une époque!!!) la gauche la plus co...du monde....
RépondreSupprimerAprès avoir écouté attentivement ce qu'a dit Gérard Collomb sur Canal Plus, j'ai trouvé ces propos plein de bon sens.
RépondreSupprimerLes gens de terrain ont une vraie légitimité, bien meilleure en tout cas que les parachutés.
Je me demande encore si le PS n'a pas enclenché la machine à perdre une nouvelle fois.
Je complète, car mon message est obscur sinon à propos d'avoir enclenché la machine à perdre, il me semble que ce n'était pas le moment de dire tout ça.
RépondreSupprimerOutre Atlantique, c'est fraudes, extorsions, copinages, indécences & cie. La neige en plus et le Nobel en moins.
RépondreSupprimerJe pouffe, je pouffe. Excusez-moi, c'est nerveux aussi.