Loumia Hiridjee, 46 ans, d'origine malgache mais de nationalité française, partageait son temps entre la France et l'Inde. Mère de trois enfants, elle avait fondé Princesse Tam Tam avec sa soeur Shama en 1985. Elle dînait avec son mari, Mourad Amarsy dans le restaurant de L'Oberoi Trident, mercredi soir, quand le commando terroriste est entré. Les balles ont fauché le couple, mettant fin à une vie qui avait tout jusqu'ici d'une success story précoce...
Le bilan s'élève à environ 195 morts ce matin.
195 vies fauchées par la violence aveugle.
Le destin ça s'appelle...
Le bilan s'élève à environ 195 morts ce matin.
195 vies fauchées par la violence aveugle.
Le destin ça s'appelle...
Découvrez Yodé & Siro!
Justin Godard a t'il eu souvent des éclairs de génie ?
RépondreSupprimerPrincess..une de mes artistes préférées à ce niveau d'activités.. c'est con, c'est toujours très con de mourir comme ça.
RépondreSupprimerLe destin, tu dis ?
RépondreSupprimerJe pense plutôt qu'on préfère claquer 1000 milliards de US $ à faire la guerre à un pays (suiver mon regard) plutôt que claquer 200 milliards de US $ pour sortir un pays de la misère.
Après on s'étonne que des gamins de 18 ans manipulés par des vieux fascisto-intégristes plongent dans des plans foireux...
Au fait, tu ne pourrais pas paramétrer ton blog pour éviter qu'on soit obligé de retaper tous les renseignements à chaque commentaire ?
C'est usant...
il faut lire "suivez mon regard"...
RépondreSupprimerLà où conduit la misère... Toujours cette putain de misère (Je reste poli avec les putains, qui connaissent bien la misère aussi)Vicious circle!!
RépondreSupprimerEtre au mauvais endroit au mauvais moment…
RépondreSupprimerTout cela tient à si peu de choses finalement.
C'est toujours bouleversant après un attentat ou un accident de découvrir, après, le visage et la vie de ceux qui y sont morts.
RépondreSupprimerQuand derrière l'abstraction des chiffres apparaissent des hommes et des femmes comme toi et moi. C'est pas 128 morts (ou je ne sais plus combien), mais 1 + 1 + 1 + 1 + 1 etc... Voilà après chaque attentat il faudrait passer leurs voix, leurs visages, leurs histoires, parce que les chiffres seuls leur ôtent leur humanité.